Page 1 sur 3
[T-UW] Journal de bord
Posté : 21/01/2018 à 20:13
par RossVell
C'est enfin la fin de notre voyage d'une année comme cela semble être le rythme égrénant le circuit commercial du navire et de son équipage. Une année et la maintenance réglementaire sur Aramis.
Le dernier saut, la dernière semaine a été l'occasion de discuter de la suite, de nos perspectives, de nos projets, de nos envies. Il en ressort que sortir de la routine semble être quelque chose qui pourrait plaire aux co propriétaires. Essayer de s'affranchir de ce trajet pour espérer gagner suffisament pour conquérir une plus grande liberté de mouvement.
Nous voilà donc à débarquer et quitter le navire en ce jour de fête et qui marquera le début d'une nouvelle année.
Nous nous egayons tous en ville pour vaquer à nos occupations plus ou moins personnelles.
Après avoir procéder aux inscriptions pour les deux courses proposées par le
Marquis Leonard Bolden-Tukera en guise de festivités, espérant ainsi récupérer un beau pécule mais aussi la possibilité d'accéder à des fêtes de la classe supérieur et ainsi pouvoir proposer nos services aux riches de la planète, La Fouine et la Capitaine tente sans succès d'obtenir des combinaisons spatiales pour assurer le pilotage des véhicules que l'ingénieure de bord prend le temps de bricoler pour les étanchéïfier.
De son côté, en secret, le chef de la sécurité se fourvoie en s'accoquinant avec la prostitution locale, tombant malencontreusement sur la police en plein travail. Il prend l'option de ne pas se rendre et s'en prend à la police conduisant à un avis de recherche diffusé sur les ondes, compromettant sa liberté de mouvement.
Se réfugiant dans le navire, après avoir admis, contraint et forcé devant l'évidence, le chef de la sécurité explique le détail de l'histoire. A son tour en secret, la Capitaine se rend à l'hopital pour régler l'affaire en faisant appel à ses capacités qu'elle cache à ses collègues depuis maintenant quelques semaines. Modifiant les souvenir de la victime principale, elle espère ainsi brouiller suffisament les éléments de la police pour assurer la non condamnation de collègue agité.
Le Vargr quand à lui, médecin de bord, choisit, comme visiblement chaque année, d'aller fêter avec ses congénères à grand renfort d'alcool et de chanson raciale.
Assistant aux festivités dans la caverne aux cristaux, c'est de retour au vaisseau que l'ingénieure de bord s'apperçoit que son fils à trouvé un portefeuille contenant de l'argent, qu'elle barbotte, des pièces d'identités, une carte de membre d'un organisme élititste de voyageur stellaire (
La Traveller's Aid Society - TAS) , et une impression surprenante d'un message provenant d'une agence de voyage (
Horizon Travel) et adressée à un certain monsieur Smith.
Cher M. Smith,
Les réservations pour vos vacances ont été confirmées.
Votre itinéraire vous fera découvrir les systèmes de Pysadi, Zila, Carsten, Pavanne, Nasemin, Jesedipere, puis les étendues Vargr jusqu'à la belle Scangen.
Votre voyage de retour passera par Jesidipere et se terminera à Junidy.
Votre cousin sur Aramanx souhaiterait cependant que vous modifiiez votre itinéraire afin de récupérer les bagages supplémentaires dont il vous a parlé dans sa dernière lettre.
Il vous fait dire enfin qu'il espère que vous pourrez prolonger votre séjour de quelques semaines avant de repartir vers Junidy via Nasemin.
Nous vous souhaitons de bonnes vacances !
Walker, Horizon Travel
Intrigués, l'équipage prend quelques renseignements sur les différents éléments à sa disposition : le capitaine du navire auquel appartient le portefeuille (
Roet Bannerji), le navire (
le Wolblut'n), l'entreprise de voyage.
Le capitaine semblerait blanc comme neige, mais en creusant un peu des suspission apparaisse, notamment sur la manière dont il a pu devenir membre de cet organisme de luxe. Les soupson penchent vers un ancien militaire.
L'agence de voyage elle appartient à un grand consorsium minier (
Sternmetal Horizon). Le nom de l'auteur du message (
Walker) ne semble pas être un des employé local.
Le vaisseau lui ne vient que rarement ici et semble plus taillé pour le transport de marchandises que de passager. Il est dôté d'un moteur de saut de 2 parsecs.
Après avoir pris contact avec le vaisseau pour joindre le capitaine, l'équipage apprend qu'il est en rendez-vous avec le président local de la société minière.
Décidant d'attendre d'être recontactés, l'équipage se décide à aller procéder à quelques repérages en vue des courses de la soirée.
Re: Journal de bord
Posté : 21/01/2018 à 20:14
par RossVell
J'ai pas pris de note, donc fait de tête.Je n'ai notammen t pas les noms des pnj ou des entreprises.
Acompléter donc, je modifierai dans le texte.
Re: Journal de bord
Posté : 22/01/2018 à 13:35
par xipehuz
J'ai rajouté les noms dans le texte.
J'ai également ajouté le texte du message trouvé dans le portefeuille du Capitaine Bannerji
J'ajoute également un détail que j'avais oublié de vous signaler. Bien que le message ne soit pas daté, vous pouvez déduire de l'état de la feuille pliée en quatre que celle-ci a été imprimée très récemment.
Re: Journal de bord
Posté : 28/01/2018 à 23:08
par Crepe
Mon fils est génial !
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 29/01/2018 à 13:36
par Don Cortisone
Comme je dis dans mon journal intime (voir sous section BULLDOG) Il a un travail tout trouvé le rabatteur de morue...
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 17/02/2018 à 22:27
par RossVell
Je suis réveillée par un message alarmiste me demandant de revenir à bord. Exeptionnellement je ne me précipite pas, je suis bien trop fatiguée par le travail de forçat que nous avons abatu pour camoufler le méfait de la fouine et du bulldog. J'arrive au vaisseau pour découvrir notre chef de la sécurité cryogénisé. Nous envoyons Jeffrey en congés pendant le temps de l'éloignement de son maître.
Nous entammons ensuite deux journées de préparations pour la course,, terminant le repérage sur le lieu de la course où les recherches et le "balisage" se poursuivent.
En petit intermère nous recevons la visite d'un inconnu au vaisseau. Il s'agit d'un certain monsieur Guilean, ex associé du capitaine Banerji, désireux d'obtenir des informations qui lui permettrait de négocier pour récupérer ce qu'il estime sien. Banerji aurait organisé, avec l''aide de personnes de Stern Metal, sa faillite et on insolvabilité pour évincer Guilean de l'association et ainsi récupérer un vaisseau pour lui seul. L'homme stime le préjudice à 1million de crédit. Il est prêt à payer toute information qui pourrait l'aider dans ses recherches, même prêt à aller jusqu'à 10% de ce qu'il pourrait récupérer. Il n'exige en revanche rien d'illégal.
Nous réfléchisson et le recontactons le lendemain pour lui vendre les informations du message. Nous convenons qu'il allait travailler à nous fournir des contacts facilitants l'acquisition de cargaisons en échange des informations.
La course à lieu et en voici un résumé en image :
Vourvz et la fouine pris en image dans cette course où dè le début le ton est donné et le comportement de l'équipe est perçu comme celui de bad guys qui ne reculeront devant rien pour gagner. Quelques concurents mis de côté, quelques obstacles évités, des accidents de la route plus ou moins volontaire, des "balisage" plutôt violent comme des mines de fortune à base de sacs de nitrate d'argent explosant au contact de l'atmosphère et voilà le véhicule au plus près de la victoire.
J'ai un peu honte, mais j'ai du utiliser mes capacités télépathique dans un exercice que je n'avais jamais experimenter, atteindre un esprit par écran interposé et le déconcentrer suffisament pour permettre à l'équipe de passer la ligne en tête juste après avoir percuté un véhicule dans le champ de mine.
L'équipe est victorieuse, gravement blessée mais victorieuse, principalement grâĉêˆà ce superbe véhicule
Ambulance à l'arrivée, transportà l'hôpital, visiste des journaliste que je n'ai pas réussi à convaincre de notre bonne foi. Visite du Marquis au vainqueur, invitation pour le warg et la capitaine. Il est ravi, et la discution est cordiale. Nous obtenons que l'hopital prenne mieux soins de la fouine que je n'avais pas réussi à faire soigner correctement faute de fond suffisant;
Nous préparons la course en navette, demandant à notre ingénieuse ingénieur de revoir l'étancheïẗé de la navette qui semblait déficiante lors du vol de test.
(voilà un résumé avec quelques touches de bulldog pour les images =P )
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 04/03/2018 à 13:44
par RossVell
Voilà la première étape de la conquête de notre liberté franchie. Nous avons gagné la course terrestre et il nous reste à établir la stratégie pour la suite.
D'un commun accord nous réveillons Bulldog, prévenant Jeffrey qui ne réponds pas et ne reviens pas. J'ai un entretien avec lui pour l'informer de la suite de notre collaboration :
- Destitution du mandat de chef de la sécurité, que nous confions à La fouine
- Interdiction de faire usage d'armes léthale.
- Signature d'un contrat de résignation de sa part dans l'entreprise au profit des officiers de l'équipage s'il devait à nouveau commettre un crime de sa propre initiative.
- Engagement moral à reverser une part de ses revenus à une association caritative de la société Akérut afin de compenser les dégats faits parmis leurs employés.
Nous envisageons ensuite la participation d'un trio à la course pour optimiser nos chances.
En attendant chacun s'occupe. Vourvz et Bulldog vont faire des courses pour acquérir notamment un dispositif médical pour lutter contre l'alcoolisme de Bulldog. Arrivé à un point de contrôle, l'ex chef de la sécurité entends une conversation qui semble concerner des pièces détacher subtilisée par l'équipe de maintenance du moteur du Beluga. C'est un certain Pétard, le chef d'équipe qui a prit sur lui de passer dans son quartier les pièves Dariennes plus plus intéressantes pour les revendre.Nous confirmerons cela le lendemain en allant vérifier au centre de destruction, moment où je promet un diner à l'employé sur place pour faire des recherches pour nous.
C'est lors de ce contrôle d'indentité que la police emmène bulldog et son warg accompagnateur au poste pour l'enquête sur l'agression des policiers il y a deux jours. La plan que j'ai mis en place semble porter ses fruits, il n'est pas arrêté car l'identification n'a pas été concluante. Reste la question de son emploi du temps. ll repart libre avec cependant l'interdiction de quitter la planète.
Pendant ce temps, et pendant que sa mère bricole la navette pour la course, je m'occupe de Q'Taïba et l'emmène à star town où il insiste pour manger des lavres de Schtork. Peu avertie par la commerçante, je ne peux rien faire lorsqu'il en mange trois en même temps et est pris d'un crise, peinant à respirer puis tombant dans l'inconscience. J'appelle les secours, ne suis pas en mesure de payer le reveil de ce service privé de soins et l'emmène donc au dispensaire où des urgences bien plus importante nous contraignent à attendre de nombreuses heures.
Tout cela ft filmé par une journaliste, non identifié à cet instant et qui profitera pour dresser un portrait d'Eden assez peu flatteur et incitant à la méfiance.
Informée par Wourvz, je le rassure pour l'histoire de la police, il me rassure pour l'enfant.
C'est peu de temps après que nous retournons au vaisseau pour que le médecin s'occupe de l'enfant. J'ai pour ma part manqué mon rendez-vous galant avec Emeri Guilian.
Le lendemain, alors que l'équipe se rend sur le lieu de la course et moi à mon rendez-vous galant reporté, une intrusion à bord du vaisseau me force à revenir sur les conseil de la fouine pour confronter l'intrus qui n'est autre qu'une journaliste, celle qui m'avait sans doute suivi la veille. Nous confisquons ses enregistrements,après avoir intercepté et brouillé l'émission d'une transmission cryptée et je lui demande sa carte pour reprendre rendez_vous et répondre à ses questions.
La course commence, l'équipe est performante, suis à la trace la tête de la course, notamment le premier, le fils cadet du Duc du secteur voisin que Bulldog a abordé de manière obséquieuse avant la course.
Le fait notable est de perdre la victoire pour ne pas risquer de percuter ce noble à la toute fin de la course. Mais quoi qu'il en soit la course et sa fin est gâĉĥée par l'arrivée en catastrophe dans l'atmosphère d'un vaisseau de type hercule8000 de la sociét Akérut. Le vaisseau est en perdition et menace de s'écraser sur Leedor et sur le site de la course. Le temps passe et la situation devient moins dramatique pour la population, la zone de crash prévisionnelle étant plus réduide.
Présente à TAS, je profite brillament de la situation et de mon charme pour obtenir de la direction d'Akérut un mandat pour récupérer du matériel très sensible le plus rapidement possible sur le site du crash : L'ordinateur de tir des canons à méson embarqué sur le navire.
(Hrp : voilà je ne crois pas avoir oublier de chose vitale. Je n'ai plus le nom de la journalope)
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 04/03/2018 à 13:50
par Don Cortisone
hrp : C'est sympa de t'être occupé du résumé ROSSVELL
car le journal intime de BULLDOG, vu qu'il va mieux, risque de ne pas reservir avant longtemps...
Et c'est vrai que si je peux avoir le nom du fils du DUC j'en serai gré car j'espére le revoir dans la campagne....
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 04/03/2018 à 16:16
par Spatiopoulpe
- Extrait des archives personnelles de Jaroslav Kubaz -
Berezi Ilona Ewart
Journaliste indépendante. Curieuse (trop) et douée, elle ne manque pas d'audace. Comme tout pigiste freelance qui arrive à gagner sa vie, elle fait dans le people, le sensationnel et le scandale. Elle s'est invitée à bord du Bélouga pour fouiner dans nos affaires et étayer ses articles calomnieux sur Johnson, mais moi et Bob l'avons stoppée et empêchée de transmettre en direct le résultat de son petit travail d'espionnage. Elle m'a remis, à ma demande, les données qu'elle avait récupérées, mais j'imagine qu'elle en a gardé une copie. C'est ce que j'aurais fait. Eden lui a promis une interview. Pour l'instant, j'ai placé un mouchard dans son commlink, mais elle l'a sans doute détecté. Reste à voir ce qu'elle va en faire. En tout cas, elle est à surveiller.
Mirchi Ullaun Aela Aledon
Fils cadet du Duc de Regina, Dhuck Norris Aela Aledon. Il est par ce dernier cousin de l'Empereur lui-même, Stephron Aela Alkhalikoi. Il a débarqué au dernier moment pour participer à la course de navettes du Marquis d'Aramis. Pilote correct, sans plus. La question qu'on se pose tout de suite est : qu'est-ce qu'un gros bonnet vient faire dans ce trou paumé ? Soit il s'ennuie, soit il a un truc particulier à demander au Marquis. J'ai tablé sur la deuxième option... Du coup, la curiosité était trop forte pour que je saisisse l'occasion qui m'était offerte de le bousculer pour lui passer devant et gagner la course de navettes. J'ai coupé les moteurs au dernier moment pour le laisser passer devant. Je ne sais pas s'il l'a remarqué ? J'espère bien avoir l'occasion de savoir ce qu'il veut demander au Marquis qu'il ne puisse obtenir par son propre pouvoir...
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 05/03/2018 à 13:50
par Spatiopoulpe
Et merci à toi RossVell pour ton résumé !
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 18/03/2018 à 17:38
par RossVell
Après avoir récupéré l'autorisation et le mandat de la société Akerut nous planifions le début des recherches sur les lieux du crash. L'équipé principale avec la navette se rend au coeur du crash tandis qu'avec l'une des deux motos semi antigrav je parcours la trainée de débrit. Il apparait rapidement évident que les débris sont très détruits. A force de recherche, nous récupérons les enregistrements de sécurité qui nous permettent de confirmer nos impressions et d'obtenir quelques informations supplémentaires :
- L'origine de la désintégration du cargo provient d'un positionnement à l'encontre des procédures de sécurités habituelles. On constate sur les images que le cargo n'était tout simplement pas arrimé.
- Les enregistrements de sécurité ne sont présent que depuis le départ de Zyla. Le système principale ayant eu un problème.
- Un dysfonctionnement peu probable de plusieurs système en même temps est la cause du problème du vaisseau, et l'incompétence de l'ingénieure l'impossibilité pour l'équipe de gérer la situation.
Après un accrochage avec les Tuskens Raiders qui tentent de retenir la navette etm e force à utiliser mes capacités pour les controler mentalement et les forcer à fuir, nous retournons à Lidor, en livrant le corps d'un des raiders aux autorités.
Nosu copions les données pour les analyser en profondeur avant que la fouine et moi même nous rendions chez Akerut.
Nous donnons nos données de recherches, les ordinateurs de sécurité et leur assurons notre collaboration en cas de besoin. En retour, il nous assure de leur gratitude (Faveurs)
Nous avons sur le retour également pu nous rendre compte grace au mouchard de la fouine que la journalope a enregistré toute notre escapade de recherche, y compris le comportement anormal des raiders.
Après la réunion, nous avons visité le musée où se trouvait la réplique d'un canon méson. Sur la sortie nous assistons à l'altercation entre un membre du musée et un Wargh. Il est mis dehors manu militari et nous remarquons qu'un homme patibulaire s'empresse de le suivre, et nous faison de même.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 01/04/2018 à 10:45
par RossVell
La filature du Warg réclamant sa broche au musée et de l'homme suspect à l'allure de biker le filant dès sa sortie du bâtiment ne donnera rien. Bloqué sur un tapis rapide par une foule en communion devant un temple, célébrant la lumière noire, le biker perd la trace du warg et nous remarque. Je tente de le suivre, mais il est doué et je ne souhaite pas provoquer d'affrontement.
Nous retournons chacun (wourvz, la fouine et moi) à nos occupations.
Pendant ce temps là, réveillé avant Samira, Bronco décide, allant ainsi à l'encontre de s aparole donnée, de sortir du vaiseau, uniquement accompagné du petit Q'Taiba. Il l'emmène dans le quartier des mineurs où il se met en quête d'un lieu de combat clandestin, mais cela nous ne le saurons jamais. Bredouille, sur le retour il entre avec l'enfant dans un entrepot, attiré par une publicité holographique personnalisée à l'image du petit qui insiste pour aller voir.
Al'intérieur ils entrent dans une sorte de sanctuaire de plénitude et de zénitude de enfant de la lumière.
Ce n'est qu'après être ressortie, complètement stone, et après avoir contacté sa mère qui les rejoints dans le fast food le plus proche dans le quartier des mineurs que le drame est dévoilé.Samira se rend compte que Bronco, complètement shooté croit être en compagnie de Q'taiba mais en fait se trimballe avec un enfant tout aussi shooté et plutôt débraillé.
Tout le monde est réuni, et nous enquêtons. Nous retrouvons l'entrepot vide, trouvons le communicateur et les vˆtement du petit et ârrivons par miracle à trouver quelqu'un qui accepte de parler et de nous dire qu'il a vu des hommes ammener très rapidement du matériel dans ce hangar. 3hommes et 3femmes, puis repartir 30 minutes plus tard avec un gros sac.
Personne d'autre ne parle et je comprends pourquoi. Les enfants de la lumière est l'un des noms que l'on donne au Cartel d'Aramis. Les choses sont graves !
Ne pouvant plus rien faire d'autre, nous retournons au vaisseau.Sur le chemin nous tombons sur le warg en train d'être agressé par le biker ert deux de ses amis. Mis en fuite, nous ramenons le warg, l'enfant des rues et toute la troupe au vaisseau.
A bords les problèmes commencent. Alors que je tente discrètement de lire les pensées du Warg, je suis prise d'une crise et fait l'expérience d'un voyage extra corporel. Le docteur, confronté au stress perd ses moyens et ne gère pas la situation. Son intervetion sur le Warg manque de le tuer et d'une situation stable, il est à présent dans un état critique et doit être placé dans l'autodoc. Le toubib entends mes pensées, et j'entens les siennes. Cela créer de la confusion à mesure que je m'exaspère et que les pensées que je lui envoie sont culpabilisantes et récriminantes. Il s'occupe tout de même de récupérer les échantillons sur Bronco et le jeune garçon pour déterminer la source des hallucinations du néoniens.
Le lendemain matin est établit que :
- le jeune garçon est un clone, avec ds modifications organiques importantes. Il produit le micro organisme qui génère les hallucinations et l'état de béatitude (Hors jeu : info potentiellement fausse du au jet de dés foireux)
- L'organisme ne survit que deux heures a l'extérieur, en revanche il perdure plus longtemps dans l'organisme et ne semble d'ailleurs pas disparaître en deça d'un seuil minima.
- Je suis contaminée, bronco aussi mais pas vourvz. Samira s'est enfui pensant que nous allions mettre une quarantaine, le doc n'a donc pas pu faire de prélèvement.
- Notre taux de contamination ne permet pas que nous infections d'autres personnes.
J'ai la veille, lors de mon réveil forcé par le doc, du annuler mon diner avec la journalope et accepter de remettre cela en l'invitant à la soirée du Marquis.
J'ai également le lendemain des nouvelles de mon contact dans le cartel et nous allons le voir. Nous négocions avec lui la restititions de l'enfant, de nos pièces de vaisseau en échange d'un contrat de travail gratuit pendant une année du néonien et de son véhicule.
Nous calons cela avec ce dernier qui envisageait une fois de plus de fuir ses responsabilités en démissionnant. Il signe les papiers nous cédant les parts il nous faudra donc potentiellement recruter un nouvel actionnaire.
Dans la journée, le warg se réveille et il connait le toubib. Nous n'en apprendrons pas plus car il est temps d'aller à la soirée et nous le remettons dans l'autodoc sous la surveillance du toubib.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 15/04/2018 à 11:45
par RossVell
Quelques préparatifs pour la soirée du Marquis, je me dévoile notamment un peu plus avec une robe torride et des tatouages personnalisés pour la soirée qui s'affichent sur ma peau dévoilée.
Sur le chemin vers le palais, la Fouine est contacté par d'ancienne connaissance, il ne nous en dira rien, mais on lui confit deux missions : me surveiller de près et s'assurer que l'ambassadeur Darien, présent aux festivités ne sera pas victime d'un assassin lors de la soirée. Paiement d'une ancienne dette très certainement.
Pour ma part, c'est "le Pervers" qui m'interpelle plus ou moins discrètement. Je m'approche avec Samira, mais lui demande de m'attendre étant donné la réaction de l'homme. Il me présente la possibilité de racheter ma dette en me faisant la messagère d'une menace auprès du chevalier XXXXXXX présent à la soirée. Il n'a pas acquité son échéance pour l'achat de son enfant. J'accepte, principalement pour ne pas mettre en péril la transaction à venir pour récupérer Q'Taïba.
Nous arrivons finalement à l'entrée du palais où je joue un mauvais tour à la journalope, ne la laissant pas entrer comme je lui avais dis. En représailles elle fera diffuser les images des tuskens zombis dans la soirée sur la chaîne locale.
La soirée commence alors, chacun vaque à ses occupations cibles : je fais du networking, la fouine me suis un temps avant de s'intéresser à l'ambassadeur tandis que Samira fait de même reconaissant en lui le frère du bodek partie majeure de son passé secret.
Après les affaires, je m'intéresse enfin au chevalier que je rencontre et que j'entraine dans un endroit discret pour lui transmettre avec force mais prévenance le message du cartel d'Aramis. Je pense avoir été à la hauteur puisqu'il font en larme et me dévoile une grande partie du problème : ce fils qu'il ne pouvait avoir autrement a effectivement été achété auprès du Cartel qui lui demande de l'argent. Mais le problème c'est qu'il est ruiné, et sa société minière aussi. J'apprendrais plus tard, grâĉêˆà son terminal de communication que la personne à l'origine des malversations à la source de cette faillite n'est autre que son frère. Seul le comptable semble au courant de toute l'affaire. Les conséquences sont nombreuses, notamment sur les mineurs de Lidor, l'économie locale, l'honneur du Chevalier, la survie de sa famille...L'homme est plutôt séduisant et touchant, je le console.
La fête continue et je décide de recontacter Bérésie, la journalope pour la faire entrer malgré tout. Surprise, elle ne peut toutefois résister à l'occasion et revient à la fête. Nous nous isolons pour une interview pendant laquelle j'arrive à la convaincre que je ne suis pas impliquée et que je ne sais pas ce qui c'est passé avec les raiders lors de l'attaque de la navette.
Le Marquis rassemble ses invités pour la mise à l'honneur des vainqueurs des courses. Comme prévu, nous l'invitons à bord pour une croisière détente et plaisir vers l'oeil dieu avec sa suite et une vingtaine de personne qu'il jugera bon d'invité, tout en fournissant le nécessaire pour apporter la culture et la puissance ecnonomique de la capitale dans nos soute pour en faire profiter les locaux. Après consultation avec un amiral, il accepte en nous demandans toutefois de l'amener à Natoko où il doit se rendre la semaine prochaine.
A la surprise générale, le fil du Duc, lui demande d'accompagner son père à Capitale pour rendre honneur à l'empereur, sur le champ. Grâĉêˆà ma télépathie, je me rend compte que le marquis est soulagé, sa femme triste, l'assemblée surprise, l'ambassadeur Darien en colère, l'un des ambassadeurs Warg avec qui il discutait plus tôt appeuré et l'autre surpris comme le reste de l'assemblée. A contact des esprits, je me rend compte que quelqu'un est en train de mourir : le chevalier. Il s'éffondre, visiblement empoisonné comme l'annoncera la fouine après s'être porté à son chevet.
Au même instant Samira se rend compte de la présence d'un drone de Bérésie, en prend le contrôle, copie les données en laissant trace de son passage puis le fais se crasher contre un mur, créant la panique et l'évacuation du Marquis et le départ de plusieurs grand, comme l'ambassadeur Darien.
La fouine et moi enquêtons en nous rapprochant des services de sécurité du marquis pour acceder notamment aux vidéos surveillance après avoir posé quelques questions aux témoins. Nous identifions l'apparence de l'assassin supposé avant et après qu'il se soit grimé dans les toilettes puis nous allons récupérer les informations dans son téléphone.
Une réflexion importante est à mener sur la marche à suivre si l'on veut profiter d'une opportunité comme en trouvant un repreneur rapidement pour les mines.
Les avantages sont nombreux : diminuer la pression sur les mineurs qui vont perdre leur boulot, se faire de l'argent, éviter la crise économique à Lidor, et peut-être sauver l'honneur du chevalier et de sa famille à défaut de sauver son entreprise.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 14/05/2018 à 19:06
par RossVell
La sortie de la soirée du Marquis est un peu compliquée. Sameera est arrêtée par la police après que Bérésie leur ai montré quelquechose aux autorités : coïncidence ?
Nous retournons au vaisseau et j'y présente nos pistes d'actions à Vourvz et à la Fouine. Nous décidons de jouer notre carte avec les informations glânées sur la Somili et le chevalier.
Le médecin de bord nous informe que l'autre Warg Gvouzon est en meilleure forme. Nous décidons de discuter avec lui le lendemain matin.
Je prend rendez-vous avec Emeri Guilian pour le lendemain midi.
Le lendemain, discution avec le Warg qui nous en dit un peu plus sur lui, ses déboires financiers, le fait qu'il est du mettre au clou ses affaires et a visiblement été victime d'un prêteur sur gages peu scrupuleux qui aurait revendu au musée un objet important avant la date d'expiration du gage. Le Warg est en mesure d'assurer les fonctions de navigateurs et c'est un coup de chance pour l'équipage car nous devons repartir dans quelques jours et je suis presque certaine que je n'aurais pas pu en trouver un en si peu de temps.
Nous nous rendons à la Somili pour voir le comptable, qui est au chevet du chevalier. Nous nous rendons alors au palais où l'on nous informe qu'il a été transferé à l'hopital. Las-bas j'ai l'occasion de discuter directement avec son épouse et lui fait part de la situation financière de l'entreprise familiale et de l'issue que je peux lui proposer dans un rachat par une autre entreprise pour ne pas faire de vague et ne pas jeter le discrédit sur son époux. Elle est un instant suspicieuse, mais je réussi à la convaincre de l'intérêt de la maneoeuvre et surtout de ma bienveillance à leur encontre.
Entretemps la police voulait entrer à bord, nous les informons que nous viendrons les voir dès que possible. La Fouine est informé d'un intrusion dans l'infirmerie, et de la supression des enregistrements de surveillance pendant 3 heures. Tout cela est l'oeuve de notre invité Warg, visiblement pas mal intentionné mais en revanche très curieux. Il échange avec BullDog, et découvre l'enfant mis en quarantaine dans l'infirmerie. Une chose dont nous n'avons bien entendu aucune idée pour le moment.
Tandis que je vais à mon déjeuner d'affaire pour me rendre compte des limites d'emeri Guilian, La fouine et Vourvz se rendent à la police. S'en suit un interrogatoire sur les membres de l'équipage, plus particulièrement sur des actes commis par Bulldog, Sameera, la fouine et par moi même. Nous acceptons qu'ils viennent fouiller le vaisseau le lendemain matin.
L'après-midi je prend contact avec Roll Bulolo, président local par intérmi d'Akérut et obtiens un rendez-vous pour le lendemain midi.
Enfin la nuit, à 3 heures, après avoir reçu un message dans ce sens, nous nous rendons dans le quartier des mineurs pour l'échange et récupérer Q'taïba. Nous nous y rendons sans le hummer, ni la mitrailleuse, détruite au préalable. Sur place, nous suivons un GPS laissé sur place, jusque dans les mines. Suivis par des drones de surveillance, nous n'en faisans que peu de cas et nous retrouvons enfin Q'taïba, seul dans une salle. Nous laisson l'enfant-organe et le très dérangeant Néonien pour repartir.
A la sortie de la salle, nous somme attaqués par des profrssionnels armés de lance bolas et de gaz incapacitant. Pour l'instant, il semble que les assaillants ne soient pas le cartel d'aramis puisque ceux ci m'accuse un instant au travers de conduits entre grottes d'avoir mis en place un piège. Après explication, ils nous proposent de nous exfiltrer. Malheureusement, Vourvz est passé à l'attaque et a mis une escouade hors de combat. Gvouzon est au fond de la ièce inconscient. Et Q'taïba n'est plus là, visibelement emmené par l'autre escaude qui s'éloigne rapidement.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 03/06/2018 à 20:23
par RossVell
Les vieux réflexes reviennent au galop, bien trop vite à mon gout. Je pensais tout cela loin derrière moi. Je trace le commando de kidnappeur avec leurs émanations psychiques, suivie de près par la fouine. L'affrontement est inévitable et mon premier réflexe est de les soumettre à ma volonté. Ils s'entretuent à ma demande et après avoir tirer une rafale dans la voiturette de mine, nous récupérons enfin Q'Taïba que la fouine a sauvé d'un coup de taser. 7 morts, le chef inconscient, nous retournons dans la grande grotte et nous faisons le point.
Nous questionnons le chef qui nous révèle avoir été embauché par un Darien.
Nous élaborons un plan pour en savoir plus et laissons l'homme sur place avec les deuw Warg. La fouine et moi retournons sur le vaisseau pour nous tenir prêt à accueillir la police et ses nombreuses question à venir.
L'interrogatoire attendu à bien lieu, la douane fouille la vaisseau et nous mettons la police sur la piste de bulldog.
Nous apportons ensuite de quoi effectuer des premiers soins à Vourvz grièvement blessé. Puis tout le monde retourne au vaisseau où nous parlons de la broche de second Warg.
Nous convenons d'aller voir le prêteur sur gage qui nous donne l'identité de l'acheteur après nous êtres rendu compte que l'appratement de Gwouzon a été fouillé et presque saccagé.
Je me rend ensuite succèssivement à mon rendez vous avec rol bullolo à qui je présente l'offre concernant la Somili, puis à celui de la femme du chevalier que je convainc d'envisager l'offre de rachat. Elle accepte à condition que j'assiste aux négociations, ce que j'accepte.
Je demande à l'équipage en congés en ville de se renseigner sur le sous directeur du musée, celui qui a acheté la broche au clou.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 13/06/2018 à 20:15
par RossVell
La journée a été longue, très longue. Mais plusieurs dossiers ont avancés et les choses sont plus claires. Enfin je le pense.
J'ai tout d'abord informé l'équipage et les associés des modalités annuelles concernant la fonction de capitaine. Il reste 24 heures à tout associé désireux d'occuper la fonction pour effectuer sa demande. Il s'agit principalement d'expliquer son projet pour l'année à venir. Ensuite, pendant les 48 heures suivantes, chaque associé vote en son âme et conscience pour le candidat de son choix.
Si aucun candidat ne se présente, un vote est effectué pour eventuellement détacher une majorité sur les votes secrets de chaque associé, choisissant alors n'importe quel autre associé.
En cas de second vote de la sorte non concluant, un tirage au sort désignera le capitaine.
Comme l'année précedente, personne ne semble vraiment intéressé.
Pour ma part, contrairement à l'année passée et mon arrivée à bord, mes récentes déconvenues et mes problèmes cognitifs, je ne suis pas certaine de pouvoir assurer cette tâche à nouveau. Cela me met trop en danger.
La preuve en est que j'ai du mal à restituer l'ordre chronologique de cette journée. J'ai comme parfois l'impression de ne plus êtte maîtresse de mes pensées.
Quoi qu'il en soit, la négociation pour la Somili à bien avancé. J'ai mis en relation les comptables, puis j'ai participé à la négociation avec la femme du chevalier et Roll Bulolo. Je pense avoir réussi à défendre les intérêts de chacun, y compris de Bulolo. J'ai évité la clause d'exclusivité des transports et me suis assurée de la reprise des employés dès que possible. Tout le monde est gagnant, et surtout mon compte en banque grâce à ma prime d'intermédiaire et d'ameneuse d'affaire, près d'1,5 millions de crédit. De quoi envisager d'autres horizons pour la vaisseau et mes compagnons. Rien de tel que le voyage perpetuel...
La police est à nouveau venu, cette fois-ci pour poser des questions sur les morts dans le quartier des mineurs. J'ai éludé pas mal de questions, sans vraiment mentir, mais sans tout dire. Vourvz n'aura pas cette présence d'esprit lors de son retour au vaisseau. Il croise la police en dit beaucoup, ce qui nous force à mettre au point une stratégie pour nous en sortir. Nous convenons de jouer la montre, et le cas échéant de nous tenir à une version plus que crédible, qui ne pase que quelques éléments comme la nature de la négociation avec le cartel, notre rôle dans les morts. Nous travaillons même sur une reconstitution virtuelle au cas où. Nous effaçons les données sur l'enfant clone pour les conserver hors système.
Vourz nous informe qu'il a été kidnappé, sans doute confondu avec Gvouzon, nous réfléchissons alors sur les implications et le Warg se confie un peu plus à nous sur sa véritable histoire. La soustraction de la broche de sa mission officieuse, confiée par un ami.
Nos informations nous permettent également de localiser la cache du contremaitre voleur et nous récupérons assez facilement nos pièces de vaisseau, cloturant aussi ce petit problème et nous conduisant à reconsidérer du coup la cession du véhicule terrestre au cartel qui ne pourra remplir sa part du marché.
Il ne nous reste plus qu'a enquêter un peu plus sur cette broche et son nouveau propriétaire afin de satisfaire notre futur navigateur qui risque de nous faire faux bond sans cela.
Il semblerait d'ailleurs que Gvoudzon travaille au corps son compatriote pour l'inciter à convaincre ses camarades de récupérer la broche, mais visiblement n'est pas très clair sur ce qu'il compte en faire, en tout cas sans doute pas la revendre comme il le laisse croire en étant évasif lorsque l'on parle de ce sujet.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 16/06/2018 à 13:55
par Spatiopoulpe
Merci pour ce beau résumé
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 30/06/2018 à 11:58
par RossVell
On peut dire que cette journée est plutôt positive...La police n'est pas passé nous voir, rien que cela c'est à marquer d'une pierre blanche.
Les discussions ont été houleuses et l'attitude de Gvoudzon n'incite pas à la confiance. Il semble à présent évident qu'il est un beau parleur et un manipulateur. Il n'a aucune intention de vendre la broche contrairement à ce qu'il n'a certe jamais dit, mais bien laissé pensé. Enfin peu importe. Les informations apportées par un membre de l'équipage nous ont permis d'en apprendre plus sur le directeur adjoint du musée et notamment son lieu d'habitation : un meublé à l'année dans un hôtel en face du musée. Nous avons également appris qu'il était assez prétentieux et avait un train de vie un peu plus haut que ce qu'il pourrait se permettre. C'est également un joueur et il connait le frère du Chevalier Patroklaus.(?)
Après avoir tenter de mettre en oeuvre un plan de diversion pour dupliquer sa carte d'accès lors d'une virée au casino, nous devons changer notre fusil d'épaule alors que le déguisement de Sameera nous met dans un léger embarras à cause de sa ressemblance avec une nobliote arnaqueuse ayant sévie l'année passée dans l'entourage du Marquis et qui a été bannie pour cela. Qu'importe, je m'occupe de la copie à la place de Sameera et nous partons, non sans avoir été interceptés par les services secrets du Marquis.Le temps de lever le qui pro quo et nous voilà, Vourvz et moi partis pour le logement du directeur adjoint. La fouine et Sameera font le guet.
Dans l'appartement, que nous n'arriverons pas à vérouiller en partant, nous trouvons un interessant message d'un directeur régionale d'Akérut (?) qui annonce rechercher à des fins culturels des broches similaires à celle de Gvoudzon. Forte prime à la clef.
Nous discutons des options avec un varg peu conciliant. Nous convenons d'aller voir le directeur pour lui mettre sous les yeux les évidences du manque de clareté de son adjoint et tenter d'obtenir la restitution de la broche de manière légale.
En parralèle, le chef mercenaire nous contact finalement pour nous dire que son commanditaire l'a informé mettre à disposition la nuit prochaine un véhicule à la bordure de la ville, à l'éxtérieur d'un conduit de maintenance. Il devra y aller avec l'enfant Darien. Nous décidons d'aller mettre sous surveillance électronique l'endroit de stationnement du vhéicule ainsi que le point de rendez-vous dans le canyon où à eu lieu la course.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 20/08/2018 à 08:45
par RossVell
Il est temps de reprendre la routine je pense. En tout cas j’aurais presque réussi à avoir 24 heures de repos dans cette quinzaine de « vacances ».
Je n’avais pas couché les évênements depuis l’incident dans le canyon. Nous y avions monté notre plan à l’attention du kidnappeur de Q’Taïba et cela avait plutôt bien fonctionné : le véhicule, le faux-enfant, l’accident qui conduit à l’explosion du véhicule. Un temps nous avons été septiques devant l’absence de présence. Puis nous avons vu la navette, le drone qu’elle avait lâché puis tenté de récupérer. Et c’est là que j’ai rencontré un petit problème. Après avoir proposé le plan d’action, je l’ai mis en œuvre et me suis jetée de notre navette pour atterrir sur l’autre et y placer un mouchard. C’est au moment de repartir que j’ai du être repérée et le petit vaisseau à la fausse apparence de déchet volant a mis en place un dispositif de sécurité à base d’électrisation de la coque.
Ce n’est que plus tard que je compris ce qu’il s’était passé. J’avais échangé ma psyché avec celle d’un Droyne à bord de cette navette. Je ne dois la vie qu’à l’intervention folle mais salvatrice du médecin de bord qui, s’occupant de mon corps, possédé par l’esprit du Droyne, a pensé n’avoir d’autre choix que de reproduire l’électrocution avec toute la puissance du vaisseau.
En tout cas depuis cet instant précis, je ne me suis jamais mieux sentie, et sentie aussi vivante.
Le point positif de cette expérience d’échange de psyché c’est que j’en ai appris beaucoup plus sur nos adversaires, sans que nous prenions plus de risque que cela. L’instigateur de toute cela est DPT...Dardan Patrokloss Tomizaref, le frère du chevalier, celui des malversation financière. Nous disposons également, grâce au traceur, de la localisation de leur base d’opération. Samira décide toutefois que nous ne donnions pas suite pour profiter du répit accordé par notre stratagème qui leur fera croire que son fils est mort dans l’explosion. D’ici à ce qu’ils démêlent le vrai du faux, nous serons déjà partis et ne reviendrons sans doute pas avant plusieurs mois.
Le lendemain j’ai décidé de dépenser mon argent, en tout cas une petite partie, infime, pour me refaire une garde-robe...dans le genre luxueuse et sexy. J’en profite pour offrir à Samira, Iaroslav et Vourvz des vêtements de soirée, élégant et personnalisé pour la soirée de festivités des corporations.
Je tente aussi de contacter Emeri Guillian, bien décidée à passer du bon temps ou en tout cas de m’amuser à continuer d’essayer de le séduire, mais la frustration est encore au rendez-vous : il n’est plus sur Leedor, ni sans doute sur Aramis. Tans pis pour lui !
Je m’assure de mes relations avec les enfants de lumière, me faisant confirmer que ma petite commission auprès du chevalier lors de la soirée du Duc a bien effacé ma dette.
Vourz me rejoint dans mes emplettes et nous décidons sur un coup de tête de nous mettre en quête de quelques Storck à élever dans le vaisseau pour produire des larves à offrir en gourmandise. Nous poussons jusqu’à acquérir un aquarium pour Octocrête et les bestioles pour mettre dedans, et les appareils pour de la lactofermentation de légumes, ainsi que d’autres produits pour mettre en place une cuisine raffinée à bord du vaisseau. Nous recrutons un cuisinier qui maîtrise tout cela et qui est désireux de quitter la planète pour des aventures galactiques. Nous achevons également l’acquisition des fournitures médicales pour lesquelles nous manquions cruellement de liquidité jusqu’à présent.
Je n’ose pas leur dire que j’ai gagné beaucoup d’argent dans cette transaction. Je crois qu’ils me demanderait pourquoi je reste, et pourquoi je ne fais pas ma vie quelquepart avec ce pactole. Et je ne saurais pas trop quoi leur répondre. Je préfère garder cela pour moi, encore pour un temps au moins. Comme le reste...Je n’ai pas envie de tout gâcher.
Une belle journée d’amusement, de shopping de repos, et le lendemain la même pour au final nous préparer pour la soirée des corporations. Tout allait pour le mieux lorsque je reçois un message depuis longtemps oublié pour ma part. Je prend contact comme j’en avais l’habitude. Je ne sais pas que la Fouine a été contacté de la même manière, via ces spams sur les agrandissements de pénis si spécifiques. Quoi qu’il en soit, mon passé militaire se rappelle à moi et me demande de garder un œil vigilant sur la soirée. L’activité des milieux dangereux sont plus fréquentes que jamais. Les autorités impériales craignent une action pendant la soirée, un meurtre, un attentat...sans vraiment en savoir plus.
Je ne sais toujours pas à l’heure où je rempli ce journal de bord s’ils avaient raison ou pas. Il y a bien eu un mort, probablement assassiné : le directeur financier d’Akérut, celui que l’on surnomme, comme je l’apprendrais plus tard « le chien de chasse ». Mort d’une crise cardiaque sans doute provoquée, en charmante compagnie qui s’enfuira dès l’homme mort, terrorisée, le corps de l’homme aura été accidentellement ou volontairement légèrement caché dans un bosquet de discrétion et ne sera trouvé que bien plus tard, après que moi, la fouine et une étrange jeune femme soyons passés pour constater chacun à notre manière la présence du mort.
j’ai tenté de suivre cette femme mais elle se dirigeait vers le nord de Leedor, vers les industries de production d’énergie et je n’avais plus le temps de poursuivre sans manquer la remise des prix. Je suis persuadée qu’elle travaille pour les services de sécurité du Marquis. La fouine n’est pas d’accord et est certain qu’elle travaille pour les enfants de la lumière, le cartel d’Aramis. L’un n’empêche pas l’autre en même temps. Je l’ai suivi car ses réactions étaient étrange. Elle attendait, scrutant le bosquet comme si elle savait que quelque chose allait se passer. Et fut contrariée, puis en colère en constant le décès de l’homme.
J’émets l’hypothèse que comme pour le chevalier, le cartel a du lui envoyer un message, et que comme pour le chevalier, on leur a coupé l’herbe sous le pied.
L’un des évênements marquant de la soirée fut l’arrivée d’officiers supérieurs d’un navire Aztlan. Remous, rumeurs, énervement, Tukéra et Oberlindès s’accusant chacun de les avoir amenés dans al région pour déstabiliser l’activité de transport…
Vourz, suspicieux, les suit, les observe et prend peur lorsqu’il espionne leur aparté dans un vestibule. Il ne comprend pas grand-chose mais reconnaît l’odeur d’un produit soporifique puissant, potentiellement mortel pour les wargs.
Notre médecin et notre ingénieurs en cheffe se feront d’ailleurs aussi remarquer lors de la remise des prix, par une boutade maladroite, malencontreuse, légèrement vulgaire, et surtout privée qui fut diffusée partiellement entre deux larsen dans le micro que lui tendait le maitre de cérémonie. Rien de grave cependant.
De mon côté, hormis la contrariété d’avoir voulu apprendre à la Fouine à danser et s’amuser un peu, sans que celui là n’est un seul regard pour moi, plus intéressé par « fouiner » à droite à gauche de son regard plutôt que de s’intéresser à moi, j’ai au moins pu rencontrer Kidigan Ounagadar, le directeur adjoint du musée. Nous convenons d’un rendez-vous le lendemain midi, dans son bureau pour évoquer les sujets qui nous tiennent à coeur : le chien d’abord, Ruth Banerjii et la broche.
Hormis le petit interrogatoire sur l’incident dans le bosquet, la soirée se passe. Je passe un petit moment festif avec Vourvz et Samira, bien qu’elle soit déjà bien fatiguée par l’alcool.
Ce midi, j’ai donc une longue et très intéressante conversation avec Kidigan Ounagadar. Sans la relater en détail, j’apprends qu’il fait partie d’un mouvement politique, les républicains d’Aramis, qui en ont assez de l’influence oppressive de l’empire. Il travail notamment avec Dardan Patrokloss Tomizarev, qui est un généreux donateur à la cause, bien qu’il n’ai plus de contact avec lui depuis plusieurs mois. Les éléments que je lui donne l’intrigue et l’alerte un peu sur le possible changement de cap de son confrère. En effet je lui évoque la tentative de rapt sur l’enfant, les mercenaire violents qui lui semble peu correspondre à l’homme qu’il avait l’habitude de fréquenter. J’éclaircis également avec lui les craintes, visiblement général dans plusieurs factions, de penser que nous œuvrons pour Tukéra. Il manque même de me proposer de kidnapper le Marquis et l’emmenant ailleurs que là où il est attendu la semaine prochaine. Je refuse bien entendu. Nous éclaircissons également « le chien d’abord » qui est un ordre qu’a transmis Banerjii, de Tomizarev et qui vise à surveiller Vourvz. Je lui donne en retour des informations sur la broche, son utilité, sa dangerosité telle que je la perçois. Je l’informe également du fait que les canons mésons n’ont pas été détruit mais sans doute dérober par une faction. Il nie toute implication dans cela, ainsi que dans les tentatives d’assassinat sur le chevalier et sur le directeur financier. Je le crois sincère.
Débrief dans mes quartiers avec les officiers, à l’exeption de Gvoudzon en qui je n’accorde pas encore ma confiance. Je leur fais part de mes découvertes, récolte les félicitations de la Fouine sur la qualité de ces renseignements.
Tandis que j’effectue les entretiens de pré-reprise, en renforçant l’enjeu à la lueur des informations récentes (acquisition du tag : Loyal pour l’équipage déjà en place), la Fouine et Vourvz retourner dans la chambre du War à la pleine lune pour s’assurer d’une surveillance éventuelle. Et là la surprise est de taille. Pas moins d’une dizaine de dispositif de surveillance sont en place, a priori appartenant à trois factions différentes au moins. Certains sont la propriété des autorités et sont sans doute là pour une enquête officielle et les deux hackeurs ne s’y intéresse pas plus que cela. D’autres, les plus sophistiqués, semblent appartenir à Dardan Patrokloss Tomizarv puisqu’ils envoient les données sur la messagerie sécurisée lui appartenant que nous avons découvert la référence dans les appartements du directeur adjoint du musée et dont il m’a confirmé l’appartenance. Et enfin une troisième faction semble être d’origine Warg, sans que plus d’information sur l’identité exacte de l’espion puisse être déterminée.
Les choses se sont grandement éclaircies, même si certains mystères sont encore bien présents.
Re: [T-UW] Journal de bord
Posté : 11/09/2018 à 12:20
par RossVell
Tout aurait pu se passer sans encombre pour cette dernière journée avant notre décolage et notre essor pour une nouvelle vie...En tout cas c’est comme cela que je l’espère et l’espérais.
Mais encore une fois la police nous emmerde et c’est avec une désagréable surprise que le matin nous nous rendons compte que le vaisseau est mis sous séquestre, interdiction de décoller ni d’y faire entrer ou sortir des marchandises...juste lorsque nous devions embarquer le cargo du Baron et faire les préparatifs pour le départ en fin d’après-midi.
Il m’aura fallu la matinée, l’appel à un avocat plus réputé que ceux commis d’office, un entretien avec le chambellan et une dette contractée auprès du Baron pour nous défaire de cette enclume juridique qui menaçait de plomber nos ailes à la veille d’une nouvelle ère.
J’ai sans doute pousser le bouchon trop loin, mais l’inspecteur Vassily Meyer, même s’il fait son travail m’a mise hors de moi. J’aurais pu et voulu lui griller le cerveau et cette pensée m’a fait peur. Il m’a fallu calmer ma colère et mon envie de vengeance et pour cela j’ai fais jouer cette relation avec le chambellan pour que la carrière du flic ne se relève pas de cet acharnement sur nous. L’avocat aussi d’ailleurs a eu comme consigne de le mettre sur la paille pour harcèlement. Bref...le stress est tombé, le problème est reglé, au moins le temps que nous partions
Et l’heure du départ approche, le cargo est en cours de chargement. Nous avons pris du retard et les premiers passagers arrivent alors que tout n’est pas embarqué. Peu importe, l’équipage s’occupera de tout le monde pour les faire patienter.
Pêle-mêle nous avons :
- le Baron ;
- l’épouse du Baron ;
- la dame de compagnie de la femme du Baron ;
- le styliste du Baron et sa jeune fille étrange ;
- le médecin personnel du Baron ;
- l’amiral Unagadar et son aide de camp ;
- Une émissaire Warg et son aide de camp
- le responsable de la sécurité du Baron et sa mystérieuse malette ;
- une scientifique de l’armée et son contingent de prisonnier à mettre en stase dont une vieille connaissance. ;
- quatres officier de Tukéra ;
- la journalope qui ne nous lâche pas et qui a été mandatée pour filmer le voyage du Baron.
Se rajoute, en retard, trois invités de plus :
- deux chevalier et un autre homme…
La cryogénisation se passe sans soucis, et pendant le laps de temps nécessaire je renoue avec Ryan, apprenant ce qui l’a conduit là, ce qui c’était passé et ce qu’il a fait pour aller mériter un procès dans le coeur de l’empire.
Je pousse aussi les investigations sur la jeune fille, en faisant part aux officiers, sauf Gvoudzon. Nous évoquons la possibilité d’une androïde qui ferait qu’elle ne réagit pas aux détecteurs.
Nous confrontons le père qui nous avoue qu’elle est malade et dispose d’un puissant brouilleur pour la protéger des rayonnements. Cela n’explique toutefois pas pourquoi elle ne transpire pas, ne salive pas, ne perds pas de cheveux….
Je propose une sortie extra véhiculaire dans le vide pour le départ et cela à eu du mal à prendre mais finalement reçoit un petit succès. Rien de grave à signaler.
Nous quittons enfin l’orbite et le voyage commence nous passons dans l’hyper-espace.
J’intercepte une video de surveillance, grâce au signalement de l’équipage où l’on voit Qutaïba jouer avec la jeune fille et manquer de se prendre une rouste de la scientifique. La jeune fille intervient et en touchant la toubib lui fait faire demi tour et entrer dans sa chambre. Contrôle mental ? Ou bien contrôle par technologie ? Je ne serais le dire et je ne sais pas si je dois en parler aux autres. Dans le doute j’efface tout cela et mes traces. Ce n’est pas propre, mais de toute façon la fouine l’aurait remarqué, alors autant ne pas perdre trop d’énergie à cela. Il sera que quelqu’un a effacer quelquechose mais ne pourra jamais trouver quoi.
(liste établie de mémoire sans mes notes, d'où l'absence des noms et sans dout quelques oublis)